Depuis 2014, en France, la Justice restaurative propose à des personnes victimes et auteurs d'infractions de dialoguer dans des dispositifs sécurisés, encadrés par des professionnels et des bénévoles. Ils s'appellent Judith, Fanny, Michel, Nassim, Issa, Thomas, Grégoire, Nawelle, Sabine, Chloé. Ils vont s'engager dans un processus où se mêleront colère et espoir, mots et silences, et à l'issue duquel naîtra, peut-être, la réparation.